Crackage de logiciels : Les méthodes clés
À l’ère de la technologie, il n’y a plus que les génies de l’informatique qui réussissent dans leurs exploits. Grâce à des guides et des tutoriels disponibles sur la toile, on n’est plus contraint de contacter un expert qualifié pour résoudre nos petits problèmes informatiques, comme pour cracker un logiciel. Justement dans cet article, on vous suggère quelques démarches simples sans l’aide d’un professionnel.
La méthode qui gagne
La première méthode commence par l’utilisation d’un code Microsoft. En effet, c’est ce code qui va jouer en mettant en marche un script, permettant ensuite de le rechercher sur google. Le but est en fait d’atterrir sur des pages contenant le crack ou la licence du logiciel concerné. Voici les détails pour cracker ou trouver la licence d’un logiciel. Il faut aller sur le moteur de recherche Google. Sur le champ dédié aux recherches, on fournit le nom du produit avec le code 94FBR, puis on valide. On se réfère à l’élément dont on souhaite découvrir la clé de licence ou le numéro de série. La dernière étape consiste à trouver dans les résultats affichés le serial correspondant. En réalité, 94FBR est un office 2000. Son usage est donc une valeur sûre, étant donné que les pages retournées ne traitent que le produit concerné. Le code qui suit le nom du produit est l’extrait même d’un numéro de série, ce qui signifie que toutes pages renvoyées contiennent la liste des numéros de série, liées essentiellement au préfixe de nom suggéré par l’utilisateur.
Options pour les geeks
La deuxième méthode n’est pas forcément à la portée de tout le monde. Il faut en effet de l’imagination pour cracker un logiciel, comme un génie du web. Penser geek, c’est donc utiliser des méthodes de geeks. Dans ce procédé, il n’y a pas de règles spécifiques, à part de découvrir par soi-même comment y arriver sans avoir à utiliser de code comme pour la première méthode proposée plus haut. Dans tous les cas, Google est idéal pour optimiser ses recherches, et résoudre les grandes énigmes de l’informatique.